mardi 25 octobre 2011

PROJET 2011/2012

Photo publiée avec l'autorisation de la photographe
Sandrine JOLY

http://www.flickr.com/photos/sand/292301533/


    Cette année, trois collèges participent à un nouveau
    projet de chant choral :
Alain-Fournier de FREYMING-MERLEBACH
Cousteau de CREUTZWALD
La Fontaine de SAINT-AVOLD

    Les professeurs de musique des trois 
    établissements ont réussi à mobiliser 120 choristes
    pour rendre hommage à un auteur-compositeur-
    interprète français 
JEAN-JACQUES
GOLDMAN ! 


Responsable du blog : A. SIPPEL

LE JOUR J


Superbe !

BRAVO à tous pour votre investissement et la qualité du spectacle.




Photos des répétitions


Découvrez les photographies des répétitions en cliquant sur les liens ci-dessous :

DOCUMENTS DE TRAVAIL

Les documents de travail se multiplient et sont assez volumineux.

Deux espaces sont désormais à votre disposition.

Sur le 1er espacevous trouverez les documents (paroles, MP3) des chansons suivantes :
Bonne idée
Confidentiel
Ensemble
Il y a
J'irai où tu iras
Nos mains
Né en 17 en Leidenstadt
ICI
Sur le 2ème espacevous trouverez les documents (paroles, MP3) des chansons suivantes :
Puisque tu pars
Un, deux, trois
Medley
A nos actes manqués (fichiers MP3)
Comme toi (fichiers MP3)
Entre gris clair et gris foncé (fichiers MP3)



Sur le 3ème espacevous trouverez les MP3 de la chanson suivante :
On ira (fichiers MP3)
ICI


lundi 24 octobre 2011

" Ensemble "

ALBUM CHANSON POUR LES PIEDS, 2001

C’était sur scène à Alès, que cette chanson est née alors que GOLDMAN chantait avec "Les fous chantants", 1 000 choristes qui, ont l’habitude de rendre hommage, chaque année à un chanteur.
Il a été ému par cette expérience et, tout à coup, il a eu l’idée d’écrire une chanson sur ce qu’il avait vécu.
"Un jour j'écrirai une chanson qui s'appellera Ensemble et vous saurez qu'elle est née là".
Dans l’album, il chante en canon avec 4 autres chanteurs : Maxime LE FORESTIER, Gérald DE PALMAS, Michael JONES (son complice guitariste) et Gildas ARZEL.
C’est une chanson qui s’explique aussi par le passé de GOLDMAN : il a été lui-même chanteur dans une chorale et, à l’occasion d’un album intitulé ROUGE, il a chanté avec les Chœurs de l’Armée Rouge.

Extrait d’une interview (10 décembre 2001)

Dominique SIMONET : Quel est le plaisir de chanter dans une chorale ?
Jean-Jacques GOLDMAN : Cela dépasse le plaisir. Il y a deux ou trois choses comme ça dans ma vie - le choeur, les orchestres de cordes et une naissance - où j'ai l'impression d'être en présence d'autre chose. Quand on assiste à une naissance, on se sent tout à coup comme le maillon d'une chaîne, dont on ne connaît ni le début, ni la fin. On se retrouve comme une espèce d'atome, dans l'histoire et la géographie, qui perpétue quelque chose, qui vient, qui est vivant. Nous, on l'a fait mais, tout à coup, c'est autre chose. A ce moment-là, j'ai ressenti un truc assez violent de présence autre. Comme quand, subitement, après s'être accordé, en frottant du crin de cheval sur des cordes, un orchestre devient du Mozart. Dans la voix, c'est pareil. Tout à coup, à plusieurs, il se passe quelque chose, au-delà de l'humain.

Souviens-toi
Etait-ce mai, novembre
Ici ou là ?
Etait-ce un lundi ?
Je ne me souviens que d'un mur immense
Mais nous étions ensemble
Ensemble, nous l'avons franchi


" Puisque tu pars "

 ALBUM ENTRE GRIS CLAIR ET GRIS FONCE, 1987

C’est une chanson très nostalgique, puisqu’elle parle de départ, de séparation. Mais ce n’est pas forcément une chose qui évoque la mort. Jean-Jacques GOLDMAN a eu l’idée d’écrire cette chanson après un concert. Il a voulu montrer que le départ n’était pas nécessairement triste, qu’il y avait aussi des côtés positifs au fait de se séparer.

Puisque l'ombre gagne
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents, plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des ainsi-soit-il
Et puisque tu penses
Comme une intime évidence
Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire
Puisque c'est ailleurs
Qu'ira mieux battre ton coeur
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir
Puisque tu pars