C’est une chanson très nostalgique, puisqu’elle parle de départ, de séparation. Mais ce n’est pas forcément une chose qui évoque la mort. Jean-Jacques GOLDMAN a eu l’idée d’écrire cette chanson après un concert. Il a voulu montrer que le départ n’était pas nécessairement triste, qu’il y avait aussi des côtés positifs au fait de se séparer.
Puisque l'ombre gagne
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents, plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des ainsi-soit-il
Et puisque tu penses
Comme une intime évidence
Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire
Puisque c'est ailleurs
Qu'ira mieux battre ton coeur
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir
Puisque tu pars
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents, plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des ainsi-soit-il
Et puisque tu penses
Comme une intime évidence
Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire
Puisque c'est ailleurs
Qu'ira mieux battre ton coeur
Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir
Puisque tu pars
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